Ensemble pour l’égalité : PAS DE RETOUR EN ARRIÈRE !

L’égalité est encore loin d’être atteinte : les femmes gagnent en moyenne 1’364 francs de moins que les hommes, les professions comptant une importante proportion de femmes continuent d’être moins bien payées, une femme sur deux est victime de harcèlement sexuel sur son lieu de travail.

CONTRE UNE AUGMENTATION INSTITUTIONNALISÉE DU TEMPS DE TRAVAIL ET LA DÉPROFESSIONNALISATION DES ENSEIGNANT·ES IV

CONTRE UNE AUGMENTATION INSTITUTIONNALISÉE DU TEMPS DE TRAVAIL ET LA DÉPROFESSIONNALISATION DES ENSEIGNANT·ES IV

L’Assemblée générale ordinaire (AGO) de la Société pédagogique genevoise, réunie le 21 mai 2025, constate avec une vive préoccupation qu’aucun progrès tangible n’a été consenti concernant ses revendications légitimes. Le refus manifeste des autorités d’ouvrir des négociations sérieuses sur des mesures qui portent atteintes aux conditions de travail déjà lourdement dégradées du corps enseignant témoignent d’un mépris inacceptable à l’égard de la profession. Le déni persistant des réalités de terrain vécues au quotidien par les enseignant·es ne saurait rester sans une réponse collective ferme et déterminée.

Grève du 13 mai 2025

Grève du 13 mai 2025

Modification du règlement (RStCE-B5 10.04)
La formulation antérieure protégeait les enseignant·es dans la mesure où leur temps de travail en présence des élèves était limité à un total de 24h en présence des élèves quelle que soit l’activité (enseignement, surveillance des récréations ou des repas).

Contre une augmentation institutionnalisée du temps de travail et la déprofessionnalisation des enseignant·es III

Contre une augmentation institutionnalisée du temps de travail et la déprofessionnalisation des enseignant·es III

L’Assemblée des délégué·es (AD) de la Société pédagogique genevoise, réunie le
20 mars 2025, constate que malgré les alertes répétées adressées au Département de l’instruction publique, de la formation et de la jeunesse, aucune avancée substantielle n’a été réalisée concernant les revendications portées par la SPG. Le manque de reconnaissance des difficultés rencontrées par le corps enseignant et l’absence de négociation sur des mesures portant atteinte aux conditions de travail des enseignant·es ne peuvent rester sans réponse.