
Association professionnelle et syndicat des professionnel·le·s de l’école primaire genevoise, la Société Pédagogique Genevoise (SPG) s’engage depuis 150 ans pour la défense d’une école et d’une éducation de qualité au bénéfice de toutes et tous.
ACTUALITÉS
Sondage de la SPG: les difficultés des enseignant·es genevois doivent être reconnues
La SPG a mené, courant décembre 2020, une enquête auprès de l’ensemble des enseignant·es genevois de l’école primaire et du spécialisé pour sonder leur vécu de la situation actuelle et leur appréciation des différents dispositifs sanitaires. Les résultats sont sans...
Pour une sortie de crise solidaire · Manif · Samedi 19.12 · 14h · Plainpalais
Crise sanitaire Pour des mesures d'urgence en faveur de la populationPour une sortie de crise solidairePersonne ne doit être laissé·e au bord du chemin! Grande manifestationSamedi 19 décembre 2020 14hRassemblement sur la Plaine de Plainpalais 15h30Hommage aux...
Mobilisation de la fonction publique · Pourquoi faire grève?
[Vidéo disponible en fin d'article] Pour être solidaires avec l’ensemble des travailleurs·euses de la fonction publique Une grande partie des travailleurs·euses en première ligne dans cette pandémie sont des fonctionnaires, personnel soignant en tête. En Allemagne,...
Devenir membre, c’est s’engager ensemble
pour une école genevoise de qualité pour toutes et tous!
BILLETS DE LA PRÉSIDENTE
Continuité de l’enseignement: une fausse bonne idée
Billet de la présidente · L'Educateur · Décembre 2020 Réunie en Assemblée des délégué·es (AD) mardi 17 novembre, la SPG a voté à l’unanimité une résolution prenant position contre le dispositif de continuité de l’enseignement à l’école primaire prévu par la...
T-shirt «de la honte», le primaire concerné?
Billet de la présidente · L'Educateur · Novembre 2020 Le t-shirt dit «de la honte» a soulevé la polémique en ce début d’année scolaire, faisant écho, notamment, à l’actualité française. Ce bout de tissu XXL, au cœur du débat, a passionnément agité la scène politique...
Des enseignant·es bien peu protégé·es
Billet de la présidente · L'Educateur · Septembre 2020 La COVID-19 teinte cette rentrée scolaire d’une manière particulière et engendre un cadre scolaire instable dans lequel la personnalité et l’intégrité des enseignante·s sont sérieusement exposées. Ainsi,...
Société Pédagogique Genevoise - SPG
12 hours ago
😷👧🏻👦🏾 Renforcement éventuel des mesures COVID à l’école: masque dès 10 ans, suppression de certaines activités scolaires... les pistes qui se discutent au sein de la conférence des directeurs cantonaux de l’instruction publique, mais que personne ne souhaite voir advenir. ... See MoreSee Less
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Je pense qu’il faudrait stopper les notes à l’école et les enfants referont leur année plus tranquille. Qu’ils suivent les cours soit à l’école si le virus le permet soit en vidéo à la maison mais sans évaluation. Car là aussi ça pose un gros problème. Les enfants qui ont eu des morts ou des grands malades dans leur famille sont stressés et n’ont pas la tête à réfléchir. Ils sont angoissés pour la plupart d’entre eux. Qu’est ce que c’est une année pour les enfants ou les adolescents voir les étudiants quand ils ont toute leur vie devant eux. On ne pense pas à eux c’est faites ce que je dis et on ne leur pose pas de question pour savoir leur ressenti . Les adultes dirigent les enfants doivent s’exécuter et vont à l’école pour beaucoup la boule au ventre. Ce n’est pas normal pour eux . J’ajouterais, mais c’est un autre sujet, que nous ne sommes plus au 19 eme siècle et qu’il serait grand temps de ne plus mettre de note à l’école et d’évoluer un peu par d’autres moyens qui sortiront des rails les enfants afin de mieux les cerner les uns les autres. Ce ne sont pas des robots ils ont tous un potentiel différent qu’il faudrait développer d’une manière plus personnelle . Aucun enfant n’est bête bien au contraire ils sont différents et ont chacun leur personnalité qu’on oublie trop souvent. Stop aux vieilles habitudes et mettons nous tous au travail pour que l’école évolue pour tous nos enfants en trouvant des solutions En France, certains établissements évaluent les compétences à l’aide d’un code couleur allant du vert (acquis) au rouge (non acquis) en passant par l’orange (en voie d’acquisition). Accompagné de longues appréciations de l’enseignant, ce système a le mérite de communiquer clairement une par une les forces et les faiblesses de l’élève, qui comprend où il doit s’améliorer. Et bien d’autres pays comme la Suède ne donnent plus de note à l’école.’ Donc il y a bien des moyens pour éliminer ces notes à l’école il suffit juste de se pencher sur le problème .
Société Pédagogique Genevoise - SPG
1 day ago
🏫😷 Dans la prise de position qu’ils communiqueront cette semaine, les Cantons se disent prêts à envisager des mesures supplémentaires, selon nos informations. Cela dit, ils ne font pas de recommandation à ce stade mais planchent sur des pistes de travail. Deux points se détacheraient en particulier: l’idée d’imposer le masque aux élèves de 7e et 8e HarmoS (10-11 ans) et le fait d’augmenter le nombre de tests de dépistage du virus dans les écoles.
Le Syndicat des enseignants romands (SER) partage la ligne principale: «À nos yeux, fermer les écoles serait la dernière solution. Avant cela, il faut examiner d’autres pistes, par exemple élargir le port du masque aux plus jeunes ou encore faire des demi-classes. Il faudra peut-être passer à l’enseignement à distance dans le secondaire II. Mais nous préférons un enseignement en présentiel. Nous avons vu lors du premier confinement à quelle vitesse les inégalités se creusent», affirme Samuel Rohrbach, le président du SER.
Le Jurassien y ajoute un point que l’on ne retrouve pas dans le discours politique: «Si l’on maintient les écoles ouvertes, il faudra aussi s’assurer que l’ensemble du personnel d’école – enseignants, concierge, transports scolaires, cantines – puisse être vacciné rapidement.» (...)
Et si la situation se dégrade en février, une piste est sur la table: prolonger les relâches, la fameuse semaine blanche. «Certains évoquent une prolongation des vacances de février afin de couper la propagation du virus, confirme Samuel Rohrbach. Pourquoi pas, mais cela serait problématique pour certains parents.» ... See MoreSee Less
Enfants et coronavirus – Fermer ou pas? Pour les écoles, février sera crucial
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Les Cantons ne veulent pas renvoyer les élèves à la maison. Ils sont prêts à étudier d’autres pistes: masque dès 10 ans ou encore vacances prolongées.Share on FacebookShare on TwitterShare on Linked InShare by Email
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Société Pédagogique Genevoise - SPG
6 days ago
👧🏼👩🏽🏫👦🏼 «Les mesures ne tiennent pas compte de la réalité du terrain», estime Francesca Marchesini. Elle prend l’exemple du masque. Il doit être porté par tous quand la distance de 1,5 mètre ne peut pas être respectée. «Sauf que parfois ce n’est pas possible. Quand les locaux sont trop petits et que l’on se trouve avec 26 ou 27 élèves… Ou avec des enfants très jeunes ou en spécialisé», détaille-t-elle.
La grande majorité des enseignants (83,8%) considère que le masque a également des conséquences sur la qualité des cours. L’enquête note «un impact sur la communication, le rapport d’autorité, le volume de la voix». Le lavage des mains pose aussi problème. Jusqu’à 60 minutes par jour y sont consacrées selon certains enseignants, ce qui équivaut à quatre jours de cours en moins par mois. Il en résulte un retard dans le suivi des programmes. «On a aussi pris du retard avec la gestion des élèves en quarantaine», ajoute Francesca Marchesini.
La gestion de la crise sanitaire pourrait avoir un effet à plus long terme: une «perte de confiance en l’institution et sa capacité à protéger» ses collaborateurs. «Il y a un déni du risque pris par l’enseignant», affirme Francesca Marchesini. Et de citer cet établissement où, la semaine avant Noël, onze des treize maîtres et maîtresses d’école ont été testés positifs. «De nombreux élèves avaient des symptômes la semaine d’avant. Aucune mesure n’a été prise sauf l’interdiction des cours de musique», dit-elle. Trois quarts des sondés se disent «stressés» et «angoissés». «Les enseignants sont au bout du rouleau», résume Francesca Marchesini.
La SPG n’est pas en faveur de la fermeture des écoles. Mais le Département de l’instruction publique (DIP) «doit prendre des mesures». Outre une plus grande reconnaissance, le syndicat demande notamment l’embauche de davantage de personnel, la recherche de remplaçants ayant souvent viré au casse-tête cet automne. La SPG réclame également un assouplissement du cadre d’évaluation des élèves, par exemple en supprimant le deuxième trimestre. «On aurait comme échéance la fin de l’année. Cela ne veut pas dire qu’on ne fera qu’une seule évaluation, mais nous aurions plus de souplesse.» ... See MoreSee Less
Covid et école – «Il y a un déni du risque pris par l’enseignant»
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Les plans de protection sont difficilement applicables, d’après une enquête de la Société pédagogique genevoise. Le DIP réagit.Share on FacebookShare on TwitterShare on Linked InShare by Email
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Société Pédagogique Genevoise - SPG
6 days ago
📊😷👩🏻🏫 «Ce qui ressort corrobore nos impressions initiales: le plan sanitaire ne tient pas compte des réalités du terrain», explique Francesca Marchesini, présidente du syndicat. «Le lavage des mains prend par exemple énormément de temps. Les élèves travaillent par conséquent moins en classe. Mais on n’a pas l’impression qu’il y ait une prise de conscience de cette réalité», relève l’enseignante. La SPG assure en effet qu’une «part importante» des professionnels y passe «entre 30 et 60 minutes par jour, soit deux à quatre journées d’enseignement par mois».
Problèmes de locaux et d’effectifs
Mais si les mesures d’hygiène sont chronophages, elles ne sont pas difficiles à appliquer en soi, contrairement au respect des distances entre enseignants et élèves, explique la présidente de la SPG. «Il y a dans certains cas des problèmes de locaux trop exigus et dans d’autres des effectifs trop élevés. Et avec certaines populations d’élèves, les plus jeunes ou ceux de l’enseignement spécialisé, le maintien des distances n’est tout simplement pas applicable.»
Le port du masque complique aussi le travail des enseignants. La grande majorité d’entre eux (83,8%) estime qu’il entraîne «des conséquences moyennes à importantes» sur la qualité de leur cours, explique la SPG. «Cela coupe toute une partie de la communication. Il est ainsi plus difficile pour les enseignants d’attirer l’attention des élèves ou de maintenir le calme», déclare Francesca Marchesini.
Demande de nouvelles mesures
Le syndicat demande au Département de l’instruction publique (DIP) «des mesures nécessaires pour faire face à cette situation exceptionnelle». Notamment un assouplissement des dispositifs d’évaluation et des classes partielles «pour permettre plus facilement de respecter les distances de sécurité». ... See MoreSee Less
«Les plans de protection sont difficilement applicables à l’école» - Le Courrier
lecourrier.ch
Mesures sanitaires difficiles à appliquer, fatigue, charge de travail et stress en hausse: voilà ce que ressentent les enseignants du primaire et du spécialisé genevois face aux protocoles mis en ...Share on FacebookShare on TwitterShare on Linked InShare by Email
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