Mobilisation du jeudi 11 décembre 2025

Dès 13h00 – Piquets de grève

16h00 – Rassemblement au Parc des Cropettes

16h30 – Départ de la grande manifestation:

Parc des Cropettes, Pont du Mont-Blanc, Promenade de la Treille

Le personnel se mobilise et rejette toujours les mesures d’austérité du Conseil d’État ! Il exige:

Le respect des mécanismes salariaux avec l’octroi des annuités pour les 4 prochaines années ;

Une indexation des salaires à 2.5% pour 2026 (dont 2.16% de rattrapage depuis 2021), pour faire face à l’inflation et l’augmentation du coût des primes d’assurance maladie ;

L’octroi des postes en adéquation avec les besoins réels afin de garantir la qualité du service public ;

Le retrait du plan d’économies annoncé afin de préserver les conditions de travail, les salaires et les prestations publiques à la population ;

Le respect du droit de grève et des libertés de communications syndicales.

ACTUALITÉS

BILLETS DE LA PRÉSIDENTE

Quand l’inclusion sert de paravent à une politique de l’exclusion  | 11e partie

Quand l’inclusion sert de paravent à une politique de l’exclusion  | 11e partie

« Résister et inventer : retrouver la puissance d’agir dans un monde néolibéral »

Pour qui accepte de se décaler un instant et consent à quitter l’enceinte scolaire, il apparait avec évidence que les phénomènes mis en lumière dans cette série consacrée à l’école inclusive — en particulier ce durcissement technocratique qui capte notre force de travail et entrave toujours davantage notre puissance d’agir — débordent largement le seul périmètre institutionnel du DIP et de la CIIP, de Genève, de la Suisse romande, et excèdent même les frontières nationales et européennes.

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Du côté du syndicat, on aurait pu se réjouir dans une certaine mesure d’une revalorisation de ces directions qui restent moins payées que leurs homologues du cycle d’orientation. Mais à l’aune des besoins exprimés par le corps enseignant et tous·tes les professionnel·les qui gravitent autour des écoles, là n’était pas la priorité. «On n’arrête pas de nous dire que l’on n’a pas d’argent, mais l’Etat en trouve pour revaloriser des personnes qui sont déjà les mieux payées», déplore la présidente de la SPG, Francesca Marchesini.
Par Maude Jaquet, dans le Courrier: lecourrier.ch/2025/12/03/a-lecole-une-revalorisation-par-le-haut/
#societepedagogiquegenevois #LeCourrier
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Du côté du syndicat, on aurait pu se réjouir dans une certaine mesure d’une revalorisation de ces directions qui restent moins payées que leurs homologues du cycle d’orientation. Mais à l’aune des besoins exprimés par le corps enseignant et tous·tes les professionnel·les qui gravitent autour des écoles, là n’était pas la priorité. «On n’arrête pas de nous dire que l’on n’a pas d’argent, mais l’Etat en trouve pour revaloriser des personnes qui sont déjà les mieux payées», déplore la présidente de la SPG, Francesca Marchesini.
Par Maude Jaquet, dans le Courrier: https://lecourrier.ch/2025/12/03/a-lecole-une-revalorisation-par-le-haut/
 #societepedagogiquegenevois #LeCourrier

«Les maîtresses des disciplines artistiques démarrent en classe 14 pour plafonner en classe 16 et leur demande de revalorisation reste lettre morte», s’agace Francesca Marchesini. En outre, on leur promet de bloquer les annuités de la fonction publique durant quatre ans, ajoute-t-elle. «Dans ce contexte, augmenter une fonction déjà privilégiée est indécent.»
Par Rachad Armanios, dans la TDG: www.tdg.ch/ecole-primaire-la-hausse-salariale-des-directeurs-passe-mal-947159279264 #societepedagogiquegenevois
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«Les maîtresses des disciplines artistiques démarrent en classe 14 pour plafonner en classe 16 et leur demande de revalorisation reste lettre morte», s’agace Francesca Marchesini. En outre, on leur promet de bloquer les annuités de la fonction publique durant quatre ans, ajoute-t-elle. «Dans ce contexte, augmenter une fonction déjà privilégiée est indécent.»
Par Rachad Armanios, dans la TDG: https://www.tdg.ch/ecole-primaire-la-hausse-salariale-des-directeurs-passe-mal-947159279264 #societepedagogiquegenevois

✒ Résister et inventer : la promesse d’un commencement ✊

L’article du mois précédent s’attachait à montrer comment le néolibéralisme, en capturant notre puissance d’agir et en soumettant les existences à la logique de la mesure et du contrôle, a plongé les individus dans une sidération paralysante.
(...)

❌ Quand l’inclusion sert de paravent à une politique de l’exclusion : 12e partie ❌
👉 article à lire en entier sur : www.spg-syndicat.ch/quand-linclusion-sert-de-paravent-a-une-politique-de-lexclusion-12e-partie/
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✒ Résister et inventer : la promesse d’un commencement ✊

L’article du mois précédent s’attachait à montrer comment le néolibéralisme, en capturant notre puissance d’agir et en soumettant les existences à la logique de la mesure et du contrôle, a plongé les individus dans une sidération paralysante. 
(...)

❌ Quand l’inclusion sert de paravent à une politique de l’exclusion : 12e partie ❌
👉 article à lire en entier sur : https://www.spg-syndicat.ch/quand-linclusion-sert-de-paravent-a-une-politique-de-lexclusion-12e-partie/
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La SPG ?

Association professionnelle et syndicat des professionnel·les de l’école primaire genevoise, la Société pédagogique genevoise (SPG) s’engage depuis plus de 150 ans pour la défense d’une école et d’une éducation de qualité au bénéfice de toutes et tous.

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Parce qu’ensemble, nous sommes plus fort·es ! La SPG défend au quotidien les enseignant·es et éducateurices de l’école publique. En adhérant, tu gagnes en force, en protection et en solidarité.

  • Améliorer et défendre nos conditions de travail : pas question de subir, nous agissons collectivement.
  • Soutenir et être soutenu·e : personne ne reste seul·e face aux pressions ou aux injustices.
  • Promouvoir une école publique de qualité : pour chaque élève, contre les logiques d’austérité.
  • Un réseau de 1 200 membres solidaires : ensemble, nous pesons vraiment dans les négociations et dans la rue.
  • Une protection juridique : un appui sûr en cas de litige ou de conflit.
  • Penser ensemble l’école de demain : parce qu’il n’y a pas d’avenir sans projet collectif.
  • Rejoins-nous, fais grandir la force collective des enseignant·es !

Mais que fait la SPG ?

Nous rencontrons et négocions régulièrement avec les instances du DIP et la conseillère d’Etat pour faire remonter la voix du terrain. Nous suivons l’actualité politique et nous mobilisons en cas d’attaques contre la qualité des services publics et n’hésitons pas à nous faire entendre dans la rue !

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